Qu’est ce que l’ARN interférent ?

À l’heure actuelle où la technologie fait son plein essor, des nouvelles voies thérapeutiques font également leur apparition pour se prémunir des maladies à savoir les thérapies géniques consistant à introduire dans les cellules humaines des dispositifs génétiques comme l’ARN, l’ADN ou bien des nanoparticules dans les tissus. Avec l’émergence des innovations technologiques, le mécanisme thérapeutique ARN a pris aussi le dessus ces derniers temps.

ARN interférent : un peu d’histoire

De l’anglais RNA interférence, l’ARN interférent ou RNAi a été découvert en 1990 par le biologiste américain nommé Richard Jorgensen et ses deux collègues Lemieux et Napoli. Auparavant, on parlait de cosupression, de post transcriptional gene silencing et du nom scientifique quelling. C’était en 2006 que le mécanisme d’ARN interférent a commencé a été perçu par le grand public et par laquelle deux scientifiques américains ont reçu le prix Nobel de la médecine sur le RNA interférence. En 2001, l’ARN interférent a été utilisé pour connaître la fonction du nématode chez les mammifères pour pouvoir ensuite être pratiqué chez l’organisme humain. L’ARN est une molécule d’acide nucléique présent dans les tissus ou les cellules qui sert d’intermédiaire entre les protéines et l’ADN. Il existe deux types d’ARN à savoir l’ARN non-codant et l’ARN codant ou l’ARNm. En effet, l’ARN non-codant englobe l’ARN ribosomique, catalytique et ARN de transfert. Dans l’interférence ARN, on distingue l’ARN interférent siRNA, l’abréviation de small interfering ARN et l’ARN miRNA ou le micro RNA. Ce sont des petits ARN qui ont été découverts vers 1999. À l’heure actuelle, la technique d’ARN interférent est au cœur de plusieurs scientifiques et biologistes en termes de soins et de thérapies. Trouvez plus d’infos sur chirurgie-buccale.org

Qu’est-ce que l’ARN interférent ?

On se demande, qu’est ce que l’ARN interférent ? Le concept de cette méthode thérapeutique digitalisée consiste à régulariser le post-transcriptionnel des gènes. L’ARN interférent consiste à éviter l’introduction des virus ou autres éléments transposables dans les cellules. En outre, le mécanisme de l’ARN interférent consiste également à effectuer une cure des cellules dites ARN non-messager ou non-fonctionnelles. Le but de l’ARN interférent, c’est dans un cadre thérapeutique, mais aussi pour l’amélioration des plantes. L’ARN interférent est appliqué dans diverses pathologies comme le virus HIV-1. Ici, il est considéré comme une arme de défense contre les infections des lymphocytes, les lésions dans le poumon ou la fibrose pulmonaire. En termes de traitement thérapeutique, il est aussi utilisé pour diagnostiquer les profils miRNA introduits dans le PBMC ou le peripheral Blood Mononuclear Cells.

La thérapie génique : quel est l’intérêt de l’ARN interférent ?

La lutte contre le cancer, les hépatites virales, les maladies génétiques est les préoccupations des médecins depuis toujours. Auparavant, il était impossible d’effectuer quelconque modification des gènes sans avoir recours à des matériels génétiques. Ce qui n’est pas le cas de nos jours, car des procédés thérapeutiques révolutionnaires font un déploiement massif dans le domaine de la médecine. L’ARN interférence est devenue une véritable thérapie génétique du futur. Il est aussi utilisé pour le traitement des maladies oculaires et des pathologies comme le cancer, le diabète, les maladies neurologiques et du système nerveux, les maladies virales, les métaboliques, etc. En outre, la technique d’ARN interférent consiste en la régulation des tissus dans le corps humain et en la neutralisation des cellules ARN non-fonctionnelles. Le principe du mécanisme ARN interférent consiste à introduire dans la cellule un ARN à double brin qui est une défense cellulaire contre les maladies ou les virus. Dès l’introduction de la molécule ARN doubles brins, les effets peuvent être perçus seulement en 24 heures. Selon les enquêtes menées, plus de 500 mille personnes dans le monde entier présentent des maladies oculaires et des risques de dégénérescence musculaire ou la DMLA. L’intérêt de l’art interférent est ainsi de se prémunir contre ces derniers, mais aussi contre les maladies d’Alzheimer, les maladies de Parkinson, les maladies osseuses et les troubles d’arthrite rhumatoïde.

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